INTEGRAAL-concept

Chapitre 7 de l'apocalypse selon INT:

Le but de ces versets est de t’assurer qu’il n’y a rien à craindre. Les quatre anges, qui retiennent les vents, représentent la retenue de la fin de la perception. La fin de la perception est retenue et ne te viendra pas avant que tu ne sois prêt et que tu ne l’appelles dans ton esprit. Ta capacité à être prêt est représentée par le sceau des 144 000.

« Cent quarante quatre mille » représente les leçons que tu as apprises alors que tu t’es préparé à choisir entre ce qui semble réel, mais ne l’est pas, et ce qui est vraiment et durablement Réel. (versets 1 – 4)

Chacune des tribus d’Israël représente une catégorie de leçon. Chaque catégorie de leçon a été enseignée jusqu’à ce que tu l’aies intégrée et appris sa leçon pleinement, afin que les leçons elles-mêmes soient un bouclier qui te protège de toute chose dont tu fais l’expérience alors que tu fais face à la fin de la perception.

Les douze leçons sont celles-ci :

1) Tu es innocent.

2) Tu es le Fils de Dieu, et toute chose dont tu fais l’expérience est un cadeau à toi-même.

3) Tu choisis le but de toute chose dont tu fais l’expérience, et le but que tu choisis est celui qui lui est donné.

4) Le but est basé sur le désir. Puisqu’il n’y a qu’un seul vrai désir, il y a seulement un vrai but. Toute autre chose est illusion.

5) Tu n’es jamais seul. La séparation est mensongère. La Lumière dans l’esprit te prête sa Force, parce que la Lumière dans l’esprit est ta Force.

6) L’illusion du monde est mensongère. Elle semble seulement réelle. Elle semble seulement réelle parce que tu lui as donné ta croyance. En refusant ta croyance, sa réalité doit s’évanouir.

7) Ta foi et ta confiance sont tout, car ce dans quoi tu mettras ta foi, tu en feras l’expérience. Ceci est vrai parce que tu es le Fils de Dieu.

8) Ton vrai désir est de Connaître Ton Soi. N’importe quel autre désir est le désir de ne pas Connaître Ton Soi, ce qui revient à choisir le manque et la peur. Tu es prêt à mettre de côté l’expérience temporaire du manque et de la peur, et à connaître à nouveau la Complétude de la Vérité.

9) Quoi que ce soit qui ne soit pas la Vérité est illusion. Choisir l’illusion c’est choisir l’imaginaire, mais l’imaginaire ne peut pas changer la Vérité.

10) L’imaginaire est mouliné dans l’esprit pensant. En autorisant l’esprit pensant à mouliner, tu choisis l’imaginaire. En autorisant l’esprit pensant à se reposer, tu choisis la Vérité.

11)  Toute chose dont tu fais l’expérience est Amour. Il n’y a pas d’exception à cette affirmation. Si tu crois que tu regardes ce qui n’est pas Amour, c’est que tu perçois à tort. Pour voir et connaître l’Amour tel qu’il est, laisse s’en aller la malperception.

12)  L’Unité est tout ce qui est vrai maintenant. La croyance en la séparation a toujours été mensongère, aussi tout ce qui est vu à travers la lentille de cette croyance doit être fausse aussi. Il n’y a pas d’exception à cette affirmation.

Ces douze leçons te prépare à choisir seulement ce qui est vrai. (versets 5 – 8)

La Joie du Ciel est inexplicable alors que tu t’avances pour choisir à nouveau le Ciel. Car dans le Ciel, il y a la Connaissance que le Ciel est ta Vérité et qu’en choisissant le Ciel, tu connaîtras le Ciel en tant que ta Réalité et ta Joie. (versets 9, 10)

Dans le Ciel, il y a une Gratitude. Cette Gratitude est pour le Ciel tel qu’il est. Cette Gratitude est unie, et cette Gratitude est partagée. Car dans le Ciel, il ne peut rien y avoir qui soit à part de la Réalité de tout ce qui est. (versets 11, 12)

Et la Lumière du Ciel est vu pour être ce qui est ton Soi.

Sa Joie est ta Joie.

Sa Gratitude est ta Gratitude.

Son Unité est ton Unité,

et son Amour est ton Soi.

Jamais tu n’as été séparé du Ciel,

et jamais le Ciel n’a été séparé de toi.

Car comment peut-on,

même pour un instant,

être séparé de celui qu’il Est ?

Dans cette Connaissance est toute Joie. Dans cette Connaissance est toute Paix. Dans cette Connaissance, la peur est effacée à jamais, parce que dans cette Connaissance il est vu qu’il est impossible qu’il ne puisse y avoir quoi que ce soit, qui soit séparé de toi, que tu puisses craindre. (versets 13 – 17)